Puis vient le moment où votre réponse arrive. Et cette réaction n’est pas un dialogue. C’est un article, posé notamment une balise. Un message qui se lit isolé, dans le calme, sans immixtion extérieure. On est en capacité de s’y vérifier une fois, puis le transférer à part, y en revenir postérieurement. Cette propension de relire,
Le plus déterminant, à ses yeux, c’est l’absence d’artifice. Dans ce format, il n’y a pas de décor, pas de mise en scène. Il n’y a pas l'accent d’une voix, ni l’ambiance d’un affaire. Il n’y a que le contenu. Et cet article, on le lit délaissé, à son rythme. Il n’attend rien. Il ne donne envie à rien. Il est là. Et parf
Il y détient des instants où l’on ne aspire à plus détacher. Pas par ombre ni par persécution, mais parce que les signaux, à puissance d’avoir vécu dits, ne portent plus. Il demeurant dès lors l’écriture, plus lente, plus énigmatique, moins exposée. Et cela vient souvent par ce raccourci que surgit l’idée d’une voyance par mai
Il n’y avait pas de très large soirée, anniversaire, mariage, noël, ou même une communion. Juste une lassitude qui s’était installée. Un matin, elle s’était réveillée avec la certitude que des éléments devait changer. Pas un progrès spectaculaire. Plutôt une rapine de conscience dissimulée. Elle avait envie d’un cran d’appui
En l’année 1851, au cœur de l’Empire austro-hongrois, dans un seul village perdu entre montagnes et forêts, un horloger du sobriquet de Jakob Müller vivait reclus dans une bâtisse en pierre et de cuivre. Artisan obsessionnel, il avait passé deux décennies à tergiverser une ainargentage personnelle en son genre : un sanctuaire mécanique